Apprenez à vous libérer de vos sentiments de culpabilité en vous acceptant inconditionnellement, et abandonnant vos fausses croyances!

 

 

 

Apprenez à vous libérer de vos sentiments de culpabilité?

 

Après vous êtes libérer de votre culpabilité

 

Quand les enfants culpabilisent les parents?

 

La culpabilisation d’origine parentale

 

La culpabilité dans la sexualité

 

La culpabilisation au niveau du couple

 

Maladie et culpabilité

 

 

 

 

Demandez-vous ce que vous cherchez à fuir dans le présent en vous faisant des reproches sur le passé. En étudiant votre motivation, vous éliminerez le besoin de vous sentir coupable. Commencez à accepter certaines attitudes que vous avez choisi de pratiquer mais que d’autres peuvent désapprouver. De la sorte si vos parents, votre chef de service, vos voisins, voire votre épouse vous reproche tel ou tel comportement, cela vous paraîtra tout à fait naturel.

Prenez un cahier et notez avec précision quand vous vous sentez culpabilisé, pourquoi, vis à vis de qui, et ce que vous cherchez à éviter dans le présent en vous tourmentant pour un événement passé. Un tel journal vous permettra de mieux cerner votre zone de culpabilité.

Repensez votre système de valeurs. Quelles sont celles auxquelles vous croyez vraiment, et celles auxquelles vous n’acquiescez que du bout des lèvres ? Etablissez la liste de toutes ces valeurs factices, et prenez la résolution d’adopter la morale que vous choisirez vous-même, et non le code qui vous est imposé par les autres.

Faites l’inventaire de toutes les mauvaises actions que vous avez commises. Notez-le d’un à dix. Faites un total, et demandez-vous si que vous trouviez cent ou un million, cela changera quelque chose dans le moment présent. Non, le moment sera toujours le même et se sentir coupable c’est perdre son temps.

Evaluez les conséquences réelles de votre comportement. Au lieu de vous mettre en quête d’on ne sait quel sentiment mythique qui vous dira ce qu’il y a de positif et de négatif dans votre vie, demandez-vous si les conséquences de vos actes sont agréables et vous enrichissent.

Voilà ce qu’est la culpabilité : un instrument de manipulation bien pratique et une perte de temps. Se tracasser inutilement et l’autre revers de la médaille sont les symptômes et les comportements limitatifs, quand on s’obnubile sur l’avenir, les catastrophes risquent de se produire.

Il subsiste néanmoins une culpabilité inconsciente qui peut vous empêchez d’avancer dans votre vie. Elle va être éliminée avec le thérapeute, en remontant à la source originelle, « du traumatisme », et aux conditionnements culpabilisants.

 

 

 

Après vous êtes libérer de votre culpabilité

 

 

 

Vous exprimez ce que vous pensez, ressentez, sans avoir peur d’être rejeté, critiqué ;

Vous osez entreprendre ce qui vous tient à cœur, et vous êtes libre de choisir ;

Vous vous permettez de refuser ce qui ne correspond pas vos valeurs, de dire non au risque de déplaire aux autres ;

Vous vous permettez de vous exposer et donc vous ressentez cette liberté partout où vous êtes ;

Vous retrouvez de l’énergie et vos symptômes disparaissent…

 

 

 

La culpabilité dans la sexualité

 

Les codes moraux, le culte de l’église, les valeurs transmises par les parents sont autant de moyens de culpabiliser les enfants sur les actes et les pensées sexuels. Les fantasmes sexuels sont également d’efficaces promoteurs de culpabilisation. Nombreux sont ceux qui se reprochent et nient d’en avoir. Certains blocages sexuels sont inhérents à la culpabilisation tels que :  L’anxiété de performance, l’éjaculation précoce et la frigidité…

 

 

 

La culpabilisation au niveau du couple

 

La formule culpabilisante « si tu m’aimais » est une façon particulière de manipuler l’autre. C’est là une tactique particulièrement commode quand on veut punir son, ou sa partenaire parce qu’il, ou elle se conduit d’une manière que l’on désapprouve. Comme si l’amour dépendait de la bonne conduite ! Si une personne n’agit pas conformément à votre attente, on la culpabilise pour la faire entrer dans le rang : il faut qu’elle se sente coupable de ne pas avoir aimé.

 

Les bouderies, les silences prolongés, les coups d’yeux hargneux sont d’utiles ingrédients de la culpabilisation. » Je ne t’adresse plus la parole, çà t’apprendra » Ne t’approche pas de moi ».  Comment peux-tu espérer que je montre affectueux avec toi après ce que tu as fait ? » Il arrive même que l’on parle au partenaire de quelque chose qu’il a fait des années auparavant pour le culpabiliser. » N’oublie pas ce que tu as fait en 1961. » Où : « Comment pourrais-je avoir à nouveau confiance en toi, après m’avoir traité comme tu l’as fait ? » On manipule ainsi le présent en faisant référence au passé. Si l’amant ou la maîtresse, le mari ou la femme a fini par oublier l’incident, l’autre le ramène périodiquement sur le tapis afin d’entretenir la culpabilité.

 

C’est pratique pour obliger votre partenaire à se plier à vos exigences et à vos règles de conduite. » Si tu avais le sens des responsabilités, tu m’aurais appelé. » Ou bien : » C’est la troisième fois que je vide la poubelle. L’objectif, Contraindre l’autre à faire ce que vous voulez qu’il fasse. La méthode ? Lui donner le sentiment d’être coupable.

 

 

 

Quand les enfants culpabilisent les parents

 

C’est en voyant les techniques de culpabilisation que les enfants s’initient à cette méthode de culpabilisation. L’enfant qui se rend compte que son père et sa mère ne supportent pas d’être de mauvais parents cherche souvent à les culpabiliser pour qu’ils fassent ses quatre volontés Quand le parent refuse à l’enfant le paquet de bonbon au supermarché. L’enfant dit : « Tu ne m’aimes pas. Si tu m’aimais, tu ne me traiterais pas comme ça. Et il y l’apothéose : « Je suis sûrement un enfant adopté. Les vrais parents ne me traiteraient pas ainsi. » Si vous avez la fibre sensible, les enfants le devinent.

 

S’ils vous rappellent constamment les choses que vous avez faites, ou que vous n’avez pas faites afin d’obtenir ce qu’ils veulent, c’est qu’ils ont appris le truc. S’ils ont recours à cette tactique, c’est que quelqu’un la leur a enseignée.

 

 

La culpabilisation d’origine parentale

Il s’agit de manipuler l’enfant, quel que soit son âge pour l’obliger à accomplir une tâche.

 

Exemple !

La mère : – Paul va chercher la chaise au sous-sol. On va bientôt dîner.

L’enfant : – Dans une minute maman, je regarde le match, j’irai à la mi-temps.

Signal de culpabilisation parentale : – Eh bien ne bouge pas, j’irai moi-même. Malgré mes douleurs. Amuse-toi bien pendant ce temps-là.

Paul imagine sa mère en train de tomber dans l’escalier avec un échafaudage de six chaises et il se sent responsable.

Le « tous les sacrifices que j’ai acceptés pour toi » est un facteur de culpabilisation extrêmement efficace. Le père ou la mère vous rappelle toutes les occasions où il, ou elle a renoncé à son bonheur pour pouvoir vous apporter quelque chose.

 

Naturellement, vous vous demandés comment vous avez pu être d’un tel égoïsme. Les références aux douleurs de l’accouchement sont un exemple de cette attitude « culpabilisante » J’ai souffert dix-huit heures rien que pour te mettre au monde. » « Si je n’ai pas divorcé avec ton père, c’est à cause de toi » est une formule non moins efficace destinée à vous culpabiliser en vous rendant responsable que maman a fait un mauvais mariage.

 

Culpabiliser l’enfant est très utile pour le manipuler : Très bien nous resterons seuls. Amuse-toi. Tu l’as toujours fait. Ne t’inquiète pas pour nous. » Cela vous oblige à téléphoner à vos parents et leur rendre régulièrement visite. On peut pousser un peu plus loin : » Alors ? Tu t’es cassé un doigt pour ne pas manœuvré le cadran du téléphone ? » On mobilise la force extérieure pour vous faire regretter ce que vous avez fait, et vous empêcher de penser par vous-même. Si l’on vous serine » si tu rates ceci ou cela, tu nous déshonoreras », il vous sera presque impossible de vous regarder dans la glace après un échec.

 

 

Maladie et culpabilité

 

La maladie est un super culpabilisant. » A cause de toi ma tension a grimpé ».  Les « tu finiras par me tuer » » ou « tu vas me donner une crise cardiaque » » servent aussi à bien vous culpabiliser qu’à vous mettre sur le dos à peu près tous les désagréments physiques de la vieillesse. Il faut avoir les épaules larges pour porter le fardeau de cette culpabilité car on peut la traîner toute sa vie, et si l’on est particulièrement vulnérable, on peut même se sentir coupable de la mort de ses parents.

 

La culpabilité sexuelle imposée par les parents est chose tout à fait courante. Toute pensée, toute conduite sexuelle est un terreau fertile pour la graine de la culpabilité. » C’est très mal de se masturber. » En vous culpabilisant, on peut vous manipuler pour vous obliger à adopter l’attitude sexuelle de rigueur. « Tu devrais avoir honte de lire des revues pareilles ». J’ai un exemple d’un patient qui a développé des troubles obsessionnels à la suite d’injonctions négatives sur la masturbation. Le malheureux se lavait les mains plusieurs fois par jour avec de l’eau de javel après avoir fait ses besoins urinaires.

 

La culpabilisation parentale et familiale est la tactique la plus communément utilisée pour maintenir en tutelle quelqu’un qui a tendance à se révolter. Les exemples ci-dessus ne sont qu’un échantillon de la multitude de maximes et de techniques ayant pour objet, d’inciter un fils ou une fille à choisir de se sentir coupable (c’est à dire de se bloquer en raison d’un événement passé).

 

 

 

 

 

 

 

 

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