Comment surmonter une blessure de rejet? Apprenez pourquoi êtes-vous toujours rejetée, et mal aimée?

 

La peur du rejet

Blessure de rejet et  miroir dual

Auto sabotage

Etre coupable

L’indifférence affective

Le sentiment de supériorité

Etre timide

 

La peur du rejet

 

 

Il y a des raisons apparentes de méchanceté gratuite chez tout le monde. Comme le fait de dénigrer les personnes qui présente des différences physiques notables, sociales, raciales et religieuses.

En outre, Il y en a d’autres qui relèvent plus du comportement psycho-affectif, et de type de personnalité suscitant le rejet et l’indifférence…

Les personnes qui se sentent rejetées ont du mal à comprendre qu’elles ont une part de responsabilité. C’est par leurs comportements que se reflètent l’attitude des autres à leur égard.

Elles ne se remettent pas en question, ou quand elles le font, c’est souvent de façon filtrée et erronée. Il leur est difficile de voir, et de s’avouer eux-mêmes leur part de responsabilité dans les relations.

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La blessure de rejet et le miroir dual

 

Pour de nombreuses rasions, d’estime personnelle, de confiance en soi, et de croyances limitantes, le « rejeté » créer en lui-même et par lui-même, ce qu’il redoute. En renvoyant aux autres l’image, ou l’idée d’une personne qui ne vaut pas la peine qu’on s’intéresse à elle.

Son attitude n’est pas seulement les propos tenus qui sont soumis à la critique, mais surtout à l’intonation de la voix, et de façon moins distincte, mais quand même perceptible par les vibrations négatives qu’elle dégage.

Ces intentions équivoques seraient plus établies sur un calcul, que sur de la sincérité, afin de s’attirer la bonne grâce d’autrui.

Les origines du rejet affectif remontent à la période infantile et pubertaire. L’éducation se cristallise et forment la personnalité presque à un niveau cellulaire « voire génétique » ou il paraît difficile de changer, parce que le sujet se définit comme tel.

 

 

Auto sabotage

C’est son identité qui prévaut, et qui le rassure du moins en apparence. Il se voit comme çà même si on lui démontre le bien-fondé de changer de comportement.

Non il persiste dans son schéma d’auto sabotage de façon compulsive et inconsciente. Ne sachant pas que quelque chose ne va pas en lui, c’est difficile d’admettre qu’il n’est pas « aimable ».  Il ne l’est pas « aimable parce qu’en fait il se rejette lui-même.

Voici un cas qui en témoigne : C’est au cours d’une séance d’hypnose avec pour technique « la sécurisation de l’enfant intérieur » qu’Amélie me dit qu’elle déteste la petite fille qu’elle était.

D’ailleurs son image ne lui est pas parvenue en visualisation, mais en blessure de rejet.   Elle n’aime pas la petite fille qu’elle était, parce qu’elle pense qu’elle n’a pas su se faire aimer de sa mère.

 

Être coupable

Sa culpabilité profondément enracinée empêche toute raison objective de ne pas se voir comme responsable du rejet maternel. Nous observons que son sentiment d’être rejeté a été transmis par le comportement de sa mère, mais aussi par identification introjective.

Ce qui veut dire que l’enfant reproduit. Il est comme une éponge et intériorise tout sans distinction. Dans certains cas de figure, elle peut plus tard, sans en prendre conscience, qu’elle a elle-même une attitude de rejet. Elles rejettent les autres de plusieurs façons.

 

 

L’indifférence affective

Sachez que c’est souvent ce que nous fait défaut, que l’on reproche aux autres. Dans le jargon psychologique ce sont des projections. Commençons par l’indifférence.

Pourquoi le, la « rejetée » est indifférent (e) aux problèmes des autres ? Nous pourrions penser que tout ce qui ne le concerne pas, lui est égal parce qu’il fait passer ses intérêts avant ceux des autres. Qu’en est-il vraiment ?

Cela se comprend par : « Puisque je ne peux pas compter sur (il elle), je m’en détourne ». Le protagoniste se trouve rejeté par son indifférence… S’il est vrai que « toute charité bien ordonnée commence par soi-même ». Il ne faut pas leurrer sur l’interprétation de cette maxime qui veut que l’on comprenne que :

« Se donner à soi-même, c’est avant tout aller vers les autres pour recevoir en retour ». Faux ! c’est un calcul malsain pour compenser une mauvaise image de soi.  Pour ce faire, il faut aimer les autres. Le problème, c’est que nous nous voyons séparé des autres et en compétition avec eux.

Si charité bien ordonnée sous-entend qu’il faut s’aimer soi-même, nous comprenons aussi qu’en se donnant de l’amour, en ayant de la compassion et de l’indulgence pour soi, nous pouvons ensuite en apporter aux autres. Notre sensibilité s’accroit, et se traduit dans une ouverture d’esprit et d’acceptation dénuée de jugement.

 

 

 

 

Le sentiment de supériorité

Un sentiment de supériorité incite au rejet. Ceux qui se sentent supérieur pensent qu’il ne faut pas s’abaisser à la médiocrité, en posant un regard sur les autres de mépris.  Ces sentiments les poussent à ne pas à ne pas s’abaisser à des discussions qui leur semblent dénuées d’intérêt, et pas constructives.

Marchent la tête haute, et feront rarement le premier pas pour lier connaissance. S’isolent d’eux-mêmes, et ne comprennent pas qu’ils ne soient pas sollicités pour leurs qualités intellectuelles, et vénérés pour leur talent.

L’attitude de rejet de la part des autres les convaincs encore plus qu’ils sont de pauvres rustres qui ne sont pas digne d’eux. Leur sentiment de supériorité peut à l’inverse dissimuler un complexe d’infériorité, un manque de confiance en soi.

Cela les pousse à développer des aptitudes, des compétences pour combler une faible estime d’eux-mêmes. Comme ils ne peuvent aimer cette partie de soi qu’ils n’aiment pas, ils libèrent leur tension intérieure, en les projetant sur autrui.

 

 

 

Être timide

L’état du timide présente parfois les mêmes comportements que l’indifférent, mais leur origine tient plus d’une peur d’être jugée, maltraitée, dévalorisée etc.

Ceux-ci attachent une importance considérable aux regards que l’on pose sur eux. C’est pendant l’adolescence que la construction d’image de soi, pour se faire accepter « des autres » devient fondamentale.

En se repliant sur lui-même il évite toutes les situations qui pourraient lui-être « fatale » Ceux qui ne le connaissent pas interprètent son comportement négativement.

Pour échapper à sa grande vulnérabilité, il peut répondre à des questions qui le dérangent par des propos cassants, secs, et détournés du sujet.

Son incapacité à exprimer ses émotions, et ses besoins le retranche derrière une attitude belliqueuse.

Ce comportement va être perçu comme du dédain par l’entourage, et en retour les autres le rejetteront. Ce rejet des autres le confirmera dans son incapacité à être à la hauteur.

Suite de l’article:

 

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