Comment avoir ce que l’on désire, sans créer de l’importance et de la culpabilité?

 

 

Sommaire

 

 

Le désir

 

Les trois formes de désirs

 

Besoin ou désir ?

 

Le désir coupable

 

 

 

 

Tu veux beaucoup? Et bien tu n’auras rien. Cette petite moquerie d’enfant contient une forme de vérité. Reformulez différemment: « Plus vous voulez et moins vous obtenez! » Quand vous voulez réellement quelque chose et que vous êtes prêt à tout risquer pour l’obtenir, vous créez un gigantesque potentiel en excès qui brise l’équilibre.

Ensuite les les forces d’équilibrage dont que j’ai évoqué dans « Pourquoi vos désirs ne se réalisent pas, » vous jettent sur une ligne de vie ou l’objet de votre désir n’existe pas du tout.

 

 

 

Les trois formes de désirs

 

 

 

 

Nous pouvons mettre évidence trois formes de désir. La premier quand la relation se transforme en une forte intention d’avoir et d’agir. Ce désir sera alors satisfait. Qui plus est, ce désir se matérialise parce que l’énergie est consacrée à l’action.

La seconde forme est le désir inactif et tourmenté. L’anxiété et les croyances selon lesquelles notre désir peut ne pas se réaliser ne font que gaspiller notre énergie et dans le pire des cas, il nous attire toutes sortes de problèmes.

La troisième forme, la plus insidieuse, c’est lorsqu’un désir se transforme en dépendance envers l’objet du désir. Attaché une grande importance à cet objet crée automatiquement une relation de dépendance qui incitera les forces d’équilibrage pour réduire le potentiel en excès.

 

 Attaché une grande importance à cet objet crée automatiquement une relation de dépendance qui incitera les forces d’équilibrage pour réduire le potentiel en excès.  En général les gens ont les croyances suivantes : « Si j’y arrive, ma situation va grandement s’améliorer » ; Si je fais ceci, je me montrerais, et à tout le monde aussi saura ce que je vaux » ; Si je ne le fais pas,  je ne vaux rien » ; Si je pouvais avoir ceci, ce serait génial » ; Si je ne l’obtiens pas, ce sera vraiment moche », etc.

 

 

L’objet du désir:

Pour aller vers la ligne de vie où l’objet de votre désir peut se transformé en réalité, la seule chose nécessaire est l’énergie de la pure intention. La pure intention est l’union du désir et de l’action, dénués d’une importance excessive. Plus vous donnez de la valeur à un événement, plus les choses échoueront ou iront mal.

 

Le désir d’avoir quelque chose peut être vue sous un angle différent. Il existe la croyance que, si voulez vraiment quelque chose, alors vous l’obtiendrez. Cependant ce n’est pas le cas. Si votre désir s’est transformé en dépendance, en une sorte de psychose, ou si vous vous efforcez hystériquement d’obtenir quelque chose sans en regarder le prix, alors que quelque art au fond de vous, vous ne croyez pas à l’accomplissement de votre désir. Par conséquent, vous transmettez une énergie avec une « forte interférence »

 

 

 

 

Besoin ou désir ?

 

 

 

 

La volonté affirmée d’éviter quelque chose fait partie de la suite logique de votre insatisfaction envers le monde qui vous entoure ou vous-même. Plus fort est le besoin, plus puissant sera le potentiel en excès. Plus vous ne voulez pas de quelque chose, plus vous y serez confronté. Les forces d’équilibrage se fichent de la façon de rétablir l’équilibre.

 

L’une consiste à vous éloigner de quoi que ce soit que vous essayez d’éviter, l’autre est de vous forcer d’arrêter consciemment d’essayer d’éviter pour qu’aucun potentiel en excès ne soit créé. Mais ce n’est pas tout. Quand vous pensez à ce que vous ne voulez pas, vous émanez de l’énergie vers la ligne ou çà arrive.

 

Prenons un exemple : Imaginez que les voisins font du bruit au beau milieu de la nuit. Plus vous voulez qu’ils se taisent, plus la fête continue. Plus vous êtes en colère et plus cette fête est vraiment bruyante. Si vous commencez à haïr à un certain point, je vous garantis que de telles soirées vont se renouveler de plus ne plus. Pour résoudre ce problème et pour faire échouer le balancier, vous pouvez considérer la situation ironiquement et vous pourriez tout aussi bien ignorer la situation, sans lui montre ni émotion ni intérêt.

 

 

 

Le désir coupable

 

 

 

 

Se sentir coupable est un potentiel en excès dans sa forme la plus pure. Vous avez fait quelque chose de mal, vous devenez conscient de la nature de vos actes et vous vous culpabilisez alors, (je devrais être puni ») un potentiel en excès se forme. Vous avez fait quelque chose de bien, vous en prenez conscience et vous sentez alors fier de vous-même, (on devrait me récompenser ») un potentiel se crée-là aussi. Les forces d’équilibrage n’ont aucune idée de pourquoi  quelqu’un devrait être puni ou récompensé.

 

 

Elles ne font qu’éliminer les irrégularités dans le champ énergétique. Dès qu’une personne montre qu’elle est prête à culpabiliser, les manipulateurs lui tombent dessus. Pour éviter leur influence, vous n’avez pas à vous justifier. Et si vous êtes fautif, vous pouvez endurer la « punition » tant que vous ne conservez pas ce sentiment de culpabilité. 

Est-ce que vous devez quelque chose à vos proches ? La réponse est non. Après tout vous y accorder de l’importance parce que vous êtes persuadé que c’est la bonne chose à faire et non parce que vous devez le faire ? C’est un tout autre problème. Si vous êtes sujet à vous justifier, vous devez cesser de le faire. 

 

 

Le sentiment de culpabilité

A propos le sentiment de culpabilité est la cause première du complexe d’infériorité. Si vous vous sentez inférieur, cela signifie que vous vous comparez aux autres parce que vous leur donnez le droit de vous êtes supérieur. Notez bien que vous leur avez donné ce droit, vous êtes celui qui  a permis aux autres de penser qu’ils sont meilleurs que vous ! Ils ne le pensent probablement pas à l’origine, mais vous, oui. Vous avez décidé d’être votre propre juge, au nom des autres.

Retrouvez le droit d’être vous-même Personne ne vous jugera, si vous ne vous sentez pas coupable. Arès tout si quelqu’un a de réels défauts, alors n’y aurait-il pas des gens pour les montrer du doigt ? Oui, mais ils le feront que s’ils sentent que vous y êtes prédisposé à accepter les reproches pour vos défauts. A l’opposé, si vous êtes libre de tout sentiment de culpabilité, personne ne songera à s’auto-dévaloriser à vos dépens.

 

Si je suis prêt à me sentir coupable, je suis donc prêt dans mon subconscient, à endurer une punition et donc, prêt à la subordination. Et si je ne me sens jamais coupable, mais que j’ai besoin de me  rassurer aux dépens des autres, je suis prêt à devenir manipulateur.

 

L’autre aspect du sentiment de culpabilité est l’audace, et l’audace est un signe d’absence de ce sentiment. L’essence de la peur se trouve dans  le subconscient, et la peur n’est pas uniquement provoquée par l’inconnu qui fait peur, mais aussi par la crainte de la punition. Si je suis coupable, j’admets en théorie devoir subir une punition et donc j’ai peur. Bien sûr, les gens courageux ne sont jamais tourmentés par leur conscience et en souffrent pas non plus du moindre sentiment de culpabilité.

Pour vous débarrasser de votre sentiment de culpabilité, soyez en accord avec votre crédo.  Personne n’a le droit de vous juger. Vous avez le droit d’être vous-même.

 

 

 

 

 

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