Pourquoi faire une thérapie ? Pourquoi refuser de faire une thérapie ? Le processus du changement thérapeutique

 

 

Pourquoi faire une thérapie ?

 

Refuser de faire une thérapie

 

Le processus du changement thérapeutique

 

 

 

 

 

 

Pourquoi faire une thérapie ?

 

 

 

Afin que votre thérapie soit vraiment profitable et qu’elle vous apporte de réels changements, voici ce que vous devez savoir ? Faire une thérapie nécessite de vous engager dans un processus, et de prendre en considération plusieurs facteurs.

Vous comprendrez pourquoi on obtiens des résultats avec des consultants qui s’engagent, et pourquoi d’autres n’évoluent pas. Il y a beacoup de paramètres à traiter, et vous ne devez pas vous décourager. C’est pour se faire que j’ai fait une suite d’article sur le processus thérapeutique

 

Lorsque l’on décide de faire une thérapie, il y a déjà eu une réflexion sur un ou des problèmes récurrents. La logique voudrait que nous allions rechercher celui, ou celle qui possède les compétences pour notre situation, mais ce n’est pas toujours le cas.

Nous entreprenons une psychanalyse, alors qu’il faut faire une thérapie comportementale. Nous allons voir un hypnothérapeute pour traiter un problème rapidement, alors qu’il y a tout un schéma mental négatif qu’il faut reconfigurer. Un psychologue n’aura pas les outils pour gérer un comportement passif agressif comme j’ai eu dernièrement etc.

 

 

 

 

Refuser de faire une thérapie

 

 

 

 

Il se peut que certains refusent de faire une thérapie, bien que leur souffrances démontrent toutes les raisons d’entreprendre un accompagnement thérapeutique. Parmi les résistances, nous retenons le plus souvent ces propos.

 

 

  • C’est pour les dingues ;
  • Ne croient pas qu’on puisse les aider ;
  • Qu’une thérapie coûte cher ;
  • Que leurs symptômes ne sont pas suffisamment importants ;
  • Qu’ils (elles) ont honte d’exposer leurs vies chaotiques, et d’être jugés ;
  • Peur  de découvrir leurs « zones d’ombre » ;
  • Parce que le problème ce n’est pas eux, mais les autres… ;

 

 

 

 

Par contre si vous avez dépassé ce stade, et que vous êtes prêts (es) à vous engager, commencez par répondre aux questions ci-dessous. Elles vont certainement vous éclairer sur votre besoin d’être accompagné par un professionnel. Soyez honnête avec vous-même, et attribuer une moyenne entre 1 et 10 en répondant à chaque question. Plus la note se rapproche de 10, plus votre besoin d’aide sera fort…

 

  • Est- ce que J’attire toujours les mêmes personnes négatives dans ma vie ?
  • Est-ce que je reproduis souvent les mêmes scénarios limitants ?
  • Est-ce que j’ai des comportements dysfonctionnels ?
  • Est-ce que j’ai des réactions disproportionnées ?
  • Est-ce que j’ai du mal à contrôler mes émotions ?
  • Est-ce que je souffre de douleurs chroniques ?
  • Est-ce que j’ai des symptômes invalidants ?
  • Est-ce que je suis très anxieux (se) angoissé (e)
  • Est-ce que j’ai peur du rejet, de l’abandon… ?
  • Suis-je dépendant d’une relation, d’une addiction ?
  • J’ai une phobie ou des TOC qui m’empêchent de vivre pleinement ?
  • Je suis souvent déprimé (e)
  • Je suis dépressif, dépressive chronique
  • Je me juge sévèrement, et suis très critique envers les autres
  • Je ne me sens pas bien depuis quelques temps, ou depuis longtemps…

 

 

 

 

Le processus du changement thérapeutique

 

 

 

 

L’empathie, la qualité de l’écoute, sont les bases du psy, et nécessaire pour établir une relation de confiance. Ensuite le processus du changement thérapeutique, tel que je le conçois, et que j’utilise doit permettre de poser un diagnostic de base précis qui peut évoluer au fur et à mesure de l’analyse. Le diagnostic posé permet d’envisager des alternatives et des solutions à des comportements inadaptés. Nous libérons les émotions négatives et les mauvais conditionnements responsables des comportements dysfonctionnels.

 

Les consultants n’ont pas toujours les moyens qui permettent de renforcer l’estime personnelle et la confiance en soi. C’est à nous thérapeute de leur proposer des méthodes qui s’appuient sur un nouvel apprentissage, et non sur des injonctions tel que : « Vous devez régler le problème avec votre père ! »

« Oui, mais comment faire quand on ne sait pas ? »  Si l’on vient voir un psy, c’est aussi pour qu’il nous donne des solutions, n’est-ce pas ? A moins que la consultant veuille simplement être écouter, et s’il n’est pas prêt à agir pour son bien ? Et bien, ils nous incombent d’expliquer les enjeux de leur résistance au changement.

 

Pendant le temps que dure la thérapie, le consultant apprend à modifier ses conceptions erronées et ses croyances limitantes. Il prend conscience de valeurs incompatibles avec elles des autres ?  Hors séance, il applique les recommandations suggérées par des exercices spécifiques : nouvel apprentissage, désensibilisation, prise de conscience, méthode de communication, autohypnose etc.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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